Glassy sky ✧ Nova

Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 18:28

nova davenport
Prénoms & Noms Pour l'humanité, elle est (Nova Davenport), fille d'une parfumeuse de grande renommée et d'un galeriste dont la discrétion égale le goût. Pour les siens, elle est (Nova Da'Neer), descendante des Delviens, peuple réchappé, empire effondré originaire de la Galaxie de Pangloss. Son prénom fonctionnant pour les deux peuples, elle n'en possède pas un à vocation culturelle contrairement à ses parents. Âge & Lieu de naissance (24 ans). Et des poussières. Des poussières trop nombreuses, à quelques semaines de sa vingt-cinquième année fatidique (23 mars). Ils rient, ceux qui l’entendent en parler, comme s’il s’agissait d’un arrêt de mort, d’un tabou, considérant qu’elle craint l’avancée du temps, ce quart de siècle. S’ils savaient.
Nationalité & Origines La fille aînée d’un couple ambitieux, la cuillère en or dans la bouche, qui s’est échappée quelques années pour ses études. (Anglaise), donc, aux manières peut-être un peu trop américaines, disent certains. Les origines (Alien) se confondent avec le temps passé hors du sol de naissance supposé.Statut civil (Célibataire) Qui a besoin d’un homme dans sa vie, de manière durable ? Sous l’aspect de collection, de ceux qu’elle prend et jette, il y a l’absence d’attachement, la sensation de ne jamais pouvoir être honnête, le verrou posé sur le myocarde qui refuse de lâcher la bride, de laisser quiconque entrer et être capable d’y provoquer la moindre fissure. Nova sait qu’elle plait, qu’il n’est pas difficile de séduire mais elle ne veut pas prendre le risque de laisser filer l’indifférence au profit d’un attachement démesuré.Orientation Sexuelle (Hétérosexuelle) a priori mais il serait difficile de catégoriser de cette manière certains types de population susceptibles d'attirer son attention. On la qualifiera donc de curieuse lorsqu'il ne s'agit pas d'humains.Occupation (Restauratrice d’art), diplôme obtenu récemment. Elle conserve les oeuvres comme on la voue à conserver les mémoires, alors même qu’elle s’évertue au refus d’un quelconque devoir, qu’elle écarte les questions d’avenir. Elle ne saurait pas dire précisément pourquoi elle a fait ce choix, alors qu’elle vit de mode, de luxe et de paillettes, qu’elle aurait souhaité être reconnue pour son art et pas pour sa capacité à réparer les oeuvres d’autrui. Pour ne pas trop se faire remarquer, sans doute, à la demande de sa famille. On la veut Gardienne d’un héritage, elle rejette pour l’heure cette idée comme si les aiguilles cessaient de tourner sur l’horloge du temps.Particularités Au-delà de sa capacité émotionnelle prétendument limitée à l’équivalent d’une tasse à expresso ? La (peau bleue), sous la projection holographique, les cheveux d’un roux qui tranche, les pupilles d’un gris si clair qu’il paraît blanc. Comme toutes les femmes de sa lignée, elle possède un talent dont on dit qu’il servirait à maintenir l’équilibre d’Olleril, un résidu du potentiel qu’elle aurait possédé sur sa planète. Le sien est une (influence empathique) : elle peut insinuer l’apaisement, la crainte, la colère, les réflexes primaires du cerveau. Une forme de manipulation qui aurait été fort utile, autrefois, pour éviter des révoltes. Il serait plus stable si elle portait le pendentif, grâce à l’enseignement des Anciennes. Sa race est par ailleurs dotée d’un odorat particulièrement développé et résiste mieux aux variations de températures, caractéristique obligatoire à leur survie dans les environnements capricieux de leurs origines. En tant qu’héritière élue de la lignée Da’Neer, elle est vouée à recevoir la sagesse et les souvenirs des vies de ses ancêtres, qui étaient ainsi réputées plus savantes que la moyenne de la galaxie de Pangloss - l'arrogance d'un empire - conservant ainsi les secrets et la conscience d’une civilisation avancée telles des archivistes.

Madelyn Cline

« There is no escape — we pay for the violence of our ancestors. »
- Frank Herbert, Dune.
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Le regard se perd sur la silhouette de son frère d’un an son cadet. Les bras croisés dans l’encadrement de la porte : perchée sur des talons parme, la robe venant mouler les formes avec une fluidité déconcertante et le regard empreint de cette distance qui la fait paraître hautaine, elle observe. L’ambre de ses yeux croise un instant ceux de cet autre à qui l’on accorde toute l’insouciance du monde sans que ça ne pose le moindre problème, quand sa mère ne cesse de lui rappeler qu’elle doit saisir l’importance de leur héritage, de cette lignée qui glisse entre les matriarches. Sur une Terre patriarcale, la voilà à regretter que les siens ne suivent pas cet exemple. Ca ne dure qu’une fraction de secondes, un éclair de lucidité sur l’avenir qui s’estompe aussi vite que les émotions retournent se dissimuler dans l’angle incompréhensible de son âme.

On raconte que le lien avec Olleril est vital aux Delviens. On murmure que, comme les femmes portent les enfants, elles portent aussi l’essence de la planète, les racines biologiques de leur monde. On souffle aux premiers rites perpétués que cette connexion est essentielle pour conserver le savoir, le passé, les mémoires des défunts et l’espoir de replanter un jour la graine nécessaire à faire renaître leur grandeur. On ne dit pas que l’effondrement fut terrible, qu’une poignée y a survécu, qu’ils ont provoqué leur propre perte. On peint des décors de nature splendide, phosphorescente, sous des cités flottantes, aux lignes hautes, spirales de verre brillant sous le soleil. On évoque de vastes déserts de sable blanc que les terrestres rapprocheraient de l’Orient avec ces mêmes structures surplombant des constructions plus rudimentaires. Technologie et dons se mêlaient et on soufflait alors que la lignée préservait l’équilibre, offrant l’harmonie plus que la grandeur. L’harmonie aurait-elle réclamé une expansion ? L’harmonie aurait-elle nécessité une arme de cette envergure ? On ne nomme jamais l’ennemi de cette vieille histoire. La détentrice de la larme d’Olleril seule, sait.

Nova balaye ce vieux conte d’un revers de la main, tandis que sa mère le narre à sa plus jeune soeur, adoptive, lasse de ces balivernes. Ce n’est qu’une façon de les piéger dans ce cercle fermé, dans ces racines qui ne sont plus que des cendres, par nostalgie, par croyance, comme n’importe quelle autre religion de ce monde. Elle est née sur terre et elle s’y sent très bien, derrière l’hologramme qui donne à sa peau bleue un aspect laiteux, à ses yeux presque blancs les teintes de l’ambre, à ses cheveux roux une blondeur délicate. Elle n’a aucune envie d’assurer la succession de la race Delvienne, ne veut pas de ces responsabilités, du poids d’un monde sur ses épaules insensibles. C’est ainsi que sa mère la décrit : insensible au sort de son peuple, à son devoir, à ce qu’ils doivent aux survivants. Elle ne veut pas payer la dette de ses ancêtres pour ce qui n’est que fables. « T’en as pas assez de lui imposer ta nostalgie ? Tu ne l’as même pas connue, cette planète. » Le regard clair de Carissa se tourne vers elle, oscille entre sévérité et tristesse. « Tu es revenue, c’est que tu as conscience de l’importance de notre mission. » « Non. Tout ce que je sais, c’est que d’une manière ou d’une autre, vous vous êtes débrouillés pour qu’on se retrouve dépendants les uns des autres, de votre cérémonie stupide, que ce soit une manipulation biologique ou un endoctrinement, ça n’a rien d’un honneur ou d’une vérité absolue. » Le soupir échappe à la femme qui se redresse, le pendentif à sa gorge attrapant les rayons du soleil. « Nova. Tu peux nier, pour l’heure. Il n’en reste pas moins que tu approches ta vingt-cinquième année et que tu auras besoin de la larme. Tu ne souhaites pas nous mettre tous en périls par égoïsme ? Que se passera-t-il si tu refuses ? » Des tas de versions servies au fil des années, du dérèglement de leurs fonctions vitales à l’impossibilité de transmettre à l’héritière suivante en passant par l’anéantissement pur et simple de leur mémoire. Elle ne sait que croire, n’a pas réellement envie de trier le vrai du faux, la réalité du chantage. « Probablement rien. Que j’ai perdu le contrôle il y a cinq mois n’est peut-être qu’une coïncidence qui arrange tes affaires. » « Les Anciennes ne te le pardonneront pas si tu te dérobes. » « Et toi ? Tu t’es dérobée, que je sache. Tu n’es pas partie chercher cette planète promise où replanter cette larme. Tu es tombée amoureuse et tu es restée là. » Touchée. Carissa quitte la pièce, refuse ce débat. Comme toutes les autres avant elle, elle a cédé aux sirènes de l’amour, à ce lien puissant à la maternité, à la douceur de vivre auprès de ses enfants et s’est cherchée des excuses, a repoussé l’échéance, jugé que Nova était trop jeune, puis son frère et ensuite sa soeur. Le Concile a accepté, elle est parvenue à les convaincre temporairement mais son influence faiblit chaque année un peu plus.

Les Delviens ne sont pas des créatures solitaires, ils recherchent toute leur vie cette moitié qui complètera leur âme. Ils ne sont par ailleurs pas frappés d’un quelconque racisme, les hybridations plutôt aisées, leurs caractéristiques ayant toutefois tendance à être dominantes et ainsi, gênantes avec les terrestres. Autrefois, les femmes de la lignée Da’Neer, prêtresses de leur état, étaient liées à de hauts personnages, pour garantir la paix et on exigeait d’elles une parfaite pureté jusqu’à ce que la combinaison optimale soit trouvée. C’est de cette manière que les problèmes ont commencé : une princesse s’est perdue entre les bras d’un étranger non élu, a souillé la volonté d’Olleril, trahi son voeu de servir son peuple et de nombreux ennuis se sont enchaînés - trop pour être tous évoqués.

« Qu’est devenu L’Ennemi, papa ? » Nova lève les yeux au ciel. « Il est parti et on ne l’a plus jamais revu, comme le Croquemitaine, le Grand Méchant Loup ou la Vilaine Marâtre. » « Nova ! Ne raconte pas de sottises à ta soeur. » « Très bien, très bien. Continuez avec vos histoires, je sors. J’ai un rendez-vous. » Son père, un homme plutôt réservé, ne s’est jamais foncièrement opposé au refus de sa fille, il n’était pas descendant d’un haut dignitaire, rien de plus qu’un homme tolérant, curieux, suffisamment sage pour accepter d’être relégué au second plan. Aimer Carissa suffisait et il espérait que Nova saurait se satisfaire d’un compagnon de vie, quand elle l’aurait trouvé, qui la rendrait peut-être plus réfléchie, plus encline à assumer son héritage. Plus de combinaison parfaite, de calculs savants, de réunions mystiques pour décider qui épouserait qui, simplement le coeur. Ou ce que la jeune femme qualifiait de pur instinct biologique voire de manque de contrôle hormonal lorsqu’elle cherchait à provoquer les siens. Moitié, c’est optimiste, quand la plupart des gens de cette population en possédaient plusieurs. Des quarts raille parfois l’héritière. Où se situe la frontière entre science et mysticisme quand les deux sont si profondément mêlés dans une civilisation ?

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Les yeux légèrement en amande se tournent vers le corps endormi, les draps chiffonnés. Elle s’extirpe du lit, réenfile sa robe et s’installe sur le fauteuil de la chambre d’hôtel, un carnet et des crayons comme arme pour laisser divaguer ses pensées. Prétendre ne rien ressentir est plus aisé qu’admettre ne pas comprendre ce qui la traverse, souvent, ne pas saisir ce que veulent réellement dire ces sentiments qui l’écrasent ; elle en trace les contours sur des toiles souvent abstraites, les canalise et les éteint en saisissant les courbes de ses amants sur le papier. Carissa place toujours tout à l’aune du savoir d’Olleril, oubliant de considérer l’inexpérience de sa fille, l’accès qu’elle n’a pas aux ancêtres ou, simplement, écartant la possibilité qu’une explication simple lui permettrait de trier. Prétendre que lorsque la cage de verre érigée autour de son coeur éclatera, tout deviendra plus clair, tout ira mieux, n’est que la version optimiste d’une mère habitée par ses convictions. Ne croire en rien ni personne blesse profondément, fissure ce même verre, la pousse à la fuite. Est-ce la peur ? Le doute ? Le besoin avide de liberté ? Est-elle défaillante, dépourvue de foi ?

Et dans le secret des pages se cachent les dessins de ce qu’elle imagine être la galaxie de Pangloss, les paysages exotiques de la planète Olleril, le visage perdu de l’Ennemi. A quoi pourrait ressembler l’outil de leur perte et de leur survie à la fois ? Les montrer serait assumer sa curiosité, cesser de se revendiquer superficielle, désintéressée, fétarde invétérée aux passions éphémères, riche demoiselle inconséquente. Les montrer serait dévoiler que derrière l’hologramme, il n’y a qu’une fille qui craint à la fois le passé et l’avenir. La véritable Nova, peu l’ont encore vue, déniché derrière le sarcasme, le sourcil relevé, l’air supérieur et le mépris de classe.

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« Où étais-tu ? » Il n’y a personne dans le vaste appartement londonien. Son frère est sorti, comme souvent, lui à qui on demande bien peu de comptes, du point de vue de Nova. Lyra dort paisiblement. Sept heures du matin, l’aube éclaire le salon de ses teintes rosées. « Qu’est-ce que ça peut bien te faire ? Oh, oui. Tu as sans doute une énième leçon importante à imposer en désespoir de cause. » La main se referme sur le bras, tire la silhouette perchée sur les escarpins vers elle. La mère est plus grande, la fille considérée comme étrangement petite pour son espèce, par ailleurs. Une adaptation à la Terre, peut-être, avec les décennies qui s’écoulent, les générations qui se suivent - à moins que son manque d’envergure et d’ambition ne se reflète dans ce corps à l’allure si fragile. « Tes bassesses morales contrarient les Anciennes. Que vont-elles penser de toi ? Tu crois qu’Olleril souhaite une prêtresse volage ? » La pression sur sa peau lui fait mal, elle réalise la colère qui déborde et le pendentif qui luit doucement. Est-ce l’influence des mémoires passées ou les convictions propres de Carissa qui s’expriment ? La gamine se dégage, manque basculer vers l’arrière, se rattrape au meuble à proximité. « Je crois qu’Olleril voudrait un peu d’évolution. Ce n’est pas en vous enfermant dans votre idée d’une famille impériale passée que vous replanterez cette graine. Et sauf ton respect, il me semble que certains Delviens ne se privaient pas de polygamie. » Elle voit rouge, la matriarche toujours élue, toujours autorité pour quelques semaines encore. « Nous ne sommes pas le peuple. Nous avons des devoirs et l’assurance que nos filles soient élevées correctement, sans l’ombre d’un doute sur leur aptitude à satisfaire les Mémoires passe au-dessus de tes petits plaisirs futiles. » « Peut-être que je devrais l’accepter, finalement, ta maudite larme, pour faire changer vos traditions stupides. Tu n’as pas eu la force suffisante pour résister aux désirs des ancêtres et tu es malgré tout enfermée ici dans une vie monotone avec un pouvoir qui te glisse des mains. Avoue que tu regrettes de ne pas avoir d’emprise sur moi ! » Le ton monte. « Que vas-tu devenir, une fois que le prestige ne sera plus tien ?» Flèche acérée au coeur. Que deviendra la digne Carissa, influente au sein de sa communauté, une fois la cérémonie passée ? Sa voix comptera toujours mais moins. Sa connexion sera limitée aux souvenirs après tant d’années à porter le pendentif et sa vision redeviendra terne, unilatérale. Son univers se restreindra à nouveau à sa conscience seule - sans le soutien de la sagesse des autres, de la planète, sans les archives du passé en appui, en bouclier. « Je t’ai enseigné tout ce que tu devais savoir pour prendre la suite, pas pour m’évincer, Nova. Aucune des héritières n’a jamais écarté sa mère, notre lien, notre communauté nous porte. » « Les temps changent, les traditions doivent évoluer. Tu as été un professeur, pas une mère, je ne reproduirai pas tes erreurs. Garde le, ton précieux caillou, je peux vivre sans mes semblables, moi. » « Pourtant tu as cédé, quand la sensation de vide t’a dévorée, quand tu as perdu ton contrôle légendaire. » Le regard d’ambre se baisse pour la première fois depuis le début de l’altercation, au souvenir de ses doigts sur le derme enserrant le coeur d’une crainte injustifiée, sa faculté à influer sur les émotions d’autrui altérée par la pression, les menaces, le membre du concile restreint venu rôder dans son ombre. Nova ne peut s’empêcher de penser qu’il s’agit de leur punition pour avoir fait quelque chose de terrible, eux, la famille impériale delvienne, le prix à payer pour un acte dont elle ignore les détails. Le tribut imposé par la planète jusqu’à ce que la dernière larme versée, cristallisée, serve de renouveau dans un autre système. Le prix de leur démesure d’antan incarnée dans un bijou et dans ce qui ressemble trop à une secte pour s’échapper aisément. Ils sont perdus, sans guide, craignent l’extinction de leur espèce, la destruction de tout espoir de renaissance. Cette terre promise où ils pourraient être eux-mêmes, où ils n’auraient pas besoin de se cacher, représente l’unité, le désir transmis de génération en génération. L’échéance toujours retardée provoque des dissensions parmi les survivants, échauffe les esprits. Les Da’Neer feraient-ils passer leur confort avant le devoir de reconstruire ? Par cycles, la tension monte et il est exigé de la matriarche en échec qu’elle passe la main à une fille plus jeune, qui aura la force d’accomplir la destinée pour laquelle elle est élue. A vingt-cinq ans, elles sont jugées dignes de faire face au devoir, dignes de reconstruire, d’offrir un Monde-Refuge à tout alien abandonné, afin de corriger leur immense péché d’orgueil.

Nova ne se sent pas digne, ne veut pas avoir à négocier avec d’autres réfugiés, reproche à ses ancêtres d’avoir élargi la communauté en absorbant d’autres êtres désespérés, elle ne souhaite pas se soumettre, n’aspire qu’à la liberté. Le lien ne semble pourtant fonctionner qu’avec le lignage direct de la Princesse déchue, marqueur génétique sans doute et ça la terrorise. Comment pourrait-elle assurer une quelconque paix ? Pire encore, comment pourrait-elle apaiser les volontés de conquête sur Terre de ceux qui sont las d’attendre la providence ? Et si elle prenait la fuite, qui pourrait prendre le succession ? L’aînée pourrait-elle vivre en sachant le fardeau qu’elle délègue, par lâcheté ? Carissa dit-elle vrai, serait-ce l’effacement de leur lien avec leur Terre-Mère et l’Oubli définitif ?

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« Greatness is a transitory experience. It is never consistent. »
- Frank Herbert, Dune.

Hors-RP

Pseudo ou Prénom ~~The~~ Wicked Witch.Âge Franchement vétuste, à 30.Fuseau horaire GMT+1. Me demandez pas celui de Nova, pitié.Crédits avatar : Fassylovers.Personnage Prédéfini (~~Tatiana, c'était trop random pour moi ok~~) Glassy sky ✧ Nova 2442792875 Zone libre Bon courage pour corriger toutes mes âneries, vous l'avez voulu Glassy sky ✧ Nova 685976210

Re: Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 18:31

Et bah bienvenue ici dit donc ! Glassy sky ✧ Nova 2703890800

Re: Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 18:33

les Delviens ce nom pas du tout inconnu au bataillon i see i see y a des manigances et tout

Re: Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 18:38

Re: Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 20:19

The ~~Ennemy~~ Professor me fait l'honneur de passer Glassy sky ✧ Nova 3366787383

Merci

The Arkhon aurait quelque chose contre les manigances ? Glassy sky ✧ Nova 3587662318

Merci quand même, sale bête intemporelle Glassy sky ✧ Nova 4276816378

Re: Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 21:48

Eh ben ça promet cette famille... Parait qu'on a un timelord spécialisé en psycho, si jamais vous voulez tenter la thérapie familiale... Glassy sky ✧ Nova 2442792875

Re: Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 21:49

Être le problème et la solution, tout un concept XD

Re: Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 21:55

Adam Coalman a écrit:: Eh ben ça promet cette famille... Parait qu'on a un timelord spécialisé en psycho, si jamais vous voulez tenter la thérapie familiale...

Eh oh. Ôte-moi d'un doute, c'pas toi qu'es enfermé justement ? Glassy sky ✧ Nova 3587662318

Les Ancêtres disent qu'il vaut mieux finir désintégrées que demander au Problème Glassy sky ✧ Nova 3366787383

Re: Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 22:07

Nova Davenport a écrit:

Adam Coalman a écrit:: Eh ben ça promet cette famille... Parait qu'on a un timelord spécialisé en psycho, si jamais vous voulez tenter la thérapie familiale...

Eh oh. Ôte-moi d'un doute, c'pas toi qu'est enfermé justement ? Glassy sky ✧ Nova 3587662318

Les Ancêtres disent qu'il vaut mieux finir désintégrées que demander au ¨roblème Glassy sky ✧ Nova 3366787383

Ben justement, moi je me soigne Glassy sky ✧ Nova 2010726732

Re: Glassy sky ✧ Nova ≡ Sam 9 Sep 2023 - 22:12

≡ Validation

Félicitation, ta fiche est validée ! Prends un instant pour apprécier cette victoire... Ok, ça suffit, c'est l'heure d'aller visiter l'univers ! Glassy sky ✧ Nova 1840272782

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