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 to become everything you're not ▹ arkhon

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The ArkhonThe Arkhon
Time Lord


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Messages : 11
Date d'inscription : 28/08/2023
Points : 25

Âge : D'apparence, on lui donnerait les 26 ans que son visage affiche. Il est bien plus vieux.
Occupation : Agent de Gallifrey, actuellement en mission sur Terre. Une fausse identité, un nouveau visage, tout a été pensé pour être discret.

Signes distinctifs :
Des yeux bleus qui percent et traversent avec tant d'intensité que soutenir son regard donne toujours l'impression de regarder dans les yeux d'un homme beaucoup plus vieux qu'il n'en a l'air, beaucoup plus déterminé et sérieux qu'il donne l'impression de l'être.

Un mètre quatre-vingt trois, une figure fine et longue, il est grand et en a conscience, même s'il n'est pas immense, la tête dépasse souvent des foules habituelles d'Angleterre.

Un air qui se dégage de lui, quand on y fait un peu plus attention, la vigilance comme s'il était toujours sur le point de bondir et disparaître, emporté par une mission et une conviction inexplicable.
Couleur RP : #6184a9

Avatar : Asa Butterfield
Crédits : MNDΛX
Disponibilité : RPs ouverts

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Messageto become everything you're not ▹ arkhon  to become everything you're not ▹ arkhon EmptySam 2 Sep 2023 - 13:58
     

THE ARKHON
Prénoms & Noms Son vrai nom, Qius-Dever of House Balaxin, il ne l'emploie plus que rarement. Utilisé sur Gallifrey, par ses plus proches et les quelques personnes en qui il a confiance. Un nom qui porte un poids, un poids qu'il ne veut pas expliquer ni partager. Kieran McKenzie, le nom d'un visage, celui qu'il porte actuellement. Identité dérobée, inventée de toute pièce, pour se fondre dans la masse humaine, partager leur temps et leur vie. Âge & Lieu de naissance 1,708 longues années, beaucoup de temps perdu et passé entre les étoiles ; sa troisième incarnation, deux régénérations déjà gaspillées par la violence et les péripéties d'une vie galactique devenue trop dangereuse. Il est né sur Gallifrey, ses terres rouges et son ciel brûlant, comme presque tous les autres de son espèce. Trigovia et ses Tours Saphir, la ville-dôme qu'il considère comme son véritable chez lui.Nationalité & Origines Le mensonge de se faire passer pour l'un d'entre eux lui impose de justifier l'accent, le visage et ce qu'il représente, Kieran, l'être humain, est anglais. S'il était réel, il serait britannique, et originaire de Birmingham. Statut civil Jamais uni avec qui que ce soit, une sorte de solitude cultivée par le manque d'intérêt et de temps, ironiquement. Le manque d'occasion, peut-être. Quoi que ce soit, la compagnie d'un autre n'est pas quelque chose qu'il connaît ou qui lui importe plus qu'autre chose.Orientation Sexuelle La norme qu'il connait voudrait qu'il ne soit pas capable de faire une différence et d'avoir de l'intérêt pour chacun d'entre eux, mais aussi souvent qu'il en a été capable, il n'a jamais démontré le moindre intérêt pour autre chose que les formes masculines.Occupation Agent de La Convocation, serviteur de Gallifrey, on l'a chargé de surveiller un secteur temporel, une période précise dans l'espace-temps. Il a pour mission de retrouver un artéfact dérobé et de neutraliser — tuer — l'entité responsable. Kieran, lui, doit se prétendre d'avoir une vie ordinaire. Particularités Seigneur du temps, il est, comme beaucoup de ses congénères, doté des nombreuses facultés mentales et psychiques qui sont devenues si caractéristiques à son espèce. Pourtant, s'il est capable de toutes les autres choses qui leur sont propre, il demeure inapte à manier la télékinésie. C'est un défaut qu'il n'explique pas, mais qu'il continue de chercher à réparer.
& asa butterfield

sever thine own tongue, lest you speak a lie

La Convocation est une organisation paramilitaire Gallifreyenne qui se charge initialement de veiller à la sécurité intérieure et de protéger les intérêts de Gallifrey. À la différence d'autres organisations, celle-ci n'est pas secrète. Ses membres ont leur quartier général dans l'une des Tours Saphir de Trigovia et quelques autres stations spatiales servent de bases d'opérations dans l'univers. La Convocation possède le pouvoir de condamner à mort, ou pire, les Seigneurs du Temps qui mettraient en danger Gallifrey et ses secrets.
i. Arcadia, eons ago
Les mains jointes, ce sont ses dix doigts qui se serrent autour de la pierre qu'il porte à son cou. L'odeur de la cendre qui brûle les narines et ce lourd bourdonnement qui résonne dans son crâne. La vue trouble, il ne perçoit que difficilement les tranchées qui se fendent au-dessus d'eux et qui s'envahissent de noirceur et de cuivre. Il entend les bruits sourds, au loin, qui font écho des horreurs qu'il ne peut plus voir, étalé au sol. Le souffle coupé, le corps immobilisé. Quelques mots lui sont murmurés à l'oreille, à travers le vacarme, par un camarade au visage déjà oublié, que ni l'esprit ni les cœurs ne pourront retrouver.

Les doigts se détachent du collier, empoignent ceux de son camarade indéchiffrable, les regards se croisent un instant, tentent en vain de percer ce voile qui embrume les sens. Un souffle s'échappe, des mots qui veulent être prononcés sont étouffés, perdus au fond de sa gorge. La chaleur qui envahit les tripes et les entrailles ne fait que grandir, elle déchire et transperce. Les chairs se fendent, s'ouvrent et s'illuminent. Tornades de flammes et d'énergie s'échappent de lui, son corps disparait, remplacé par un autre. Sa toute première fois, encore plus terrifiante que dans ses pires cauchemars.

Lorsqu'il ouvre les yeux, ce ne sont plus les flammes lointaines qui envahissent ses sens, mais l'odeur artificielle et métallique d'une fausse gravité. Son corps rapatrié dans un vaisseau primitif. Le corps étendu au sol, un oreiller inconfortable qui soutient l'arrière de sa tête, le crâne qui résonne du bourdonnement des machines qui l'entourent. Et puis, enfin, le son dédoublé de ses cœurs qui battent encore trop fort dans ses oreilles, qui cherchent à se relaxer.

Zevra... le mot précède la moindre action, la moindre pensée. Son corps fatigué, encore instable, peine à se redresser, ses mains trouvent le froid du sol métallique et le hissent difficilement du sol. Il ne parvient pas à se lever, juste à se redresser. Qu'est-ce qui... Se passe ? l'hésitation produit comme un écho désagréable dans ses tympans, qui déforme les sons qui s'échappent de lui. Il ne reconnaît plus sa propre voix. Ses sourcils se froncent et sa mâchoire se resserre.

Tout va bien, Qius. la voix traverse la distance qui les sépare, le couloir de quelques mètres perçu à travers des yeux fatigués donne l'impression de s'étendre encore et encore, mais lorsqu'une tête se tourne vers lui, et qu'un sourire se dessine sur ce visage jeune et lumineux, c'est toute cette distance qui disparaît immédiatement. Je te ramène à la Maison.


Trigovia, just as many eons ago
La mâchoire métallique grince, les yeux vides de la moindre pensée, mais éclairés par de minuscules orbes violets observent fixement le jeune homme. Comme pour le jauger, l'étudier en silence, se faire une idée de ce qu'il est et de qui il est. Zevra, qui porte encore les traces du combat sur le visage, finit de se laver les mains et vient s'asseoir à côté d'eux, lui et la machine grinçante et imposante. —Tes yeux n'ont pas changés. elle se penche en avant, l'observe de plus près, et sans demander sa permission, une main vient lui agripper le visage et lui fait tourner la tête de gauche à droite tandis que ses deux yeux inchangés la regardent fixement et que ses sourcils se froncent en face d'elle.

Lorsqu'elle retire enfin sa main, Qius se redresse dans le vieux siège puis laisse son regard glisser d'elle jusqu'à la créature mécanique, —Il n'est pas du même avis... Zevra hausse un sourcil, observe l'entité mécanique puis hausse les épaules, —Il ne comprendrait pas les subtilités d'un nouveau visage, de toute façon. la créature tourne la tête, se détache enfin du nouveau Qius et un bruit grondé et guttural fait écho dans ses entrailles de métal, il n'apprécie pas le commentaire de Zevra. Elle ricane, et donne un petit coup amical sur son épaule métallique, le vide à l'intérieur de la créature résonne quelques secondes puis se tait quand il lève le bras et offre sa main à Qius.

Un sourire rassuré, quoique toujours un peu hésitant, se dessine sur ce nouveau visage qu'il porte et il vient prendre la main de la créature dans la sienne. Zevra ne peut s'empêcher de sourire, ravie de voir qu'il est toujours reconnu par leur Maison.


ii. Sesserit, the seven-nine galaxy
L'air est lourd, électrique. La pluie horizontale balaie les environs et les nuages noirs grondent au-dessus de sa tête. Ses doigts se serrent autour du collier qu'il porte à son cou, ses yeux se plissent sous la pluie, il se tient droit — presque trop fier, trop arrogant – et fixe l'horizon. Lentement, il se détache de son collier et sa main vient rejoindre la garde de l'épée à sa ceinture. De quelques pas en avant, il commence par traverser l'horizon strié par la pluie avant de s'arrêter en face d'une épaisse porte en métal.

Ses doigts glissent le long de la garde décorée, empoignent le manche, et lentement il aligne la pointe de la lame argentée contre la surface qui lui fait face. Un léger geste du bras fait reculer la lame, ne laissant qu'un infime espace entre les deux objets. Puis d'un geste sec la pointe vient sonner contre le métal. L'écho du métal résonne et se propage autour de lui, de la porte, de sa lame ; les vibrations du métal qui traversent la lame rejoignent la surface épaisse, qui tout à coup se met, elle aussi, à vibrer. L'écho revient en arrière, traverse la distance et rejoint ses oreilles. Les yeux clos, la tête tournée et penchée sur le côté, il écoute un instant ce que l'écho lui renvoi puis l'épée retrouve son fourreau, lui aussi décoré.

Lorsqu'il ouvre les yeux, il ne pleut plus. Ruines et détritus balayés de gauche à droite jonchent les rues trempées, les nuages noirs continuent de gronder dans le ciel au-dessus de sa tête, mais l'horizon s'est apaisé. Il fait un pas sur le côté, geste calculé, presque mécanique. L'oreille tendue, il attend quelques secondes et, finalement, du bout des doigts touche la surface froide et trempée de métal. Comme un mirage iridescent, elle semble onduler avant de disparaître.

Anodyne, Centre of the Blades
Le tourment tourbillonne au-dessus d'eux, catastrophe métallique, des flammes s'échappent à travers les courbes et les rainures gravées qui décorent l'objet infernal suspendu dans le ciel. Une inquiétante lumière traverse le métal fendu à mesure que l'objet continue de tourbillonner, ses mouvements de plus en plus rapides. D'incessantes pulsations sonores et visuelles le traversent à chaque rotation, comme une tempête qui se prépare à dévorer l'horizon.

Suspendu devant la barricade, l'Arkhon se tient en garde, lame dégainée et pointée vers l'objet. Les sourcils froncés d'un visage fatigué par des heures de bataille, il est couvert de sang et de sueur. À son côté, une prêtresse et un chasseur de primes. La première porte dans ses mains un encensoir argenté duquel s'échappe des vapeurs bleutées, et l'autre vise de son fusil l'objet tourbillonnant au-dessus d'eux.

Tout à coup, un éclair jaillissant d'au travers de l'objet traverse la distance entre eux tous, et s'écrase au sol dans un bruit assourdissant. —C'est maintenant ou jamais ! l'Arkhon hurle à travers le vacarme, sans jamais détacher son regard de l'objet ; la prêtresse s'approche faiblement, autant inquiète que terrifiée, les chaînes de l'encensoir sifflent et tintent entre ses doigts alors qu'elle avance, suivie de près par le chasseur de primes.

Un autre éclair s'échappe, mais la lame de l'Arkhon fend l'air et interrompt sa trajectoire, elle capture l'arc électrique d'un geste sec et soudain. La prêtresse est sauvée, mais sous le choc elle manque de faire tomber son encensoir au sol, qui est rattrapé de justesse par le chasseur de primes. L'objet infernal continue de tournoyer dangereusement, vibrations et échos inquiétants ne font qu'amplifier à mesure que le temps passe, les choses ne font qu'empirer. La prêtresse reprend ses esprits, resserre sa poigne autour des chaînes et fait un autre pas en avant. Ses yeux plantés dans le mécanisme flottant, elle marmonne des mots dans une langue ancienne, venue d'ailleurs, puis ouvre en deux l'encensoir. Ses vapeurs bleues sont des projectiles qui sifflent et craquèlent dans l'air, éclatent et explosent contre l'objet tournoyant. D'autres éclairs viennent s'en échapper, d'autres vapeurs sont projetées contre sa surface métallique grinçante. Et tout à coup, le silence. Un éclat de lumière aveuglante, le bruit aspiré d'une implosion. Puis, plus rien.


Solace
La gravité artificielle laisse un goût amer dans la bouche lorsqu'il pose enfin le pied en dehors de son propre vaisseau. Les robes amples font tâche sur son allure de guerrier fatigué et l'épée balance à sa ceinture le temps de ses quelques pas vers les portes encore fermées. Il attend, simplement, sans rien faire d'autre.

Les yeux se lèvent et observent au travers de la caméra de sécurité qui le fixe en silence. Il entend les grincements métalliques et mécaniques à l'intérieur de celle-ci, on le regarde et on l'observe de l'autre côté d'un moniteur. La tête s'incline légèrement, les yeux semblent percer au travers du métal, la vision s'enfonce et s'infiltre au-delà des câbles, traverse les réseaux électriques et continue sa course invisible jusqu'à ce qu'elle retrouve son observateur silencieux. Contact, murmuré entre deux silences, et un écho traverse les deux crânes, s'infiltre dans les deux cerveaux.

Initié Qius-Dever, je viens faire mon rapport. les paroles ne sont jamais prononcées, elles flottent au-dessus et autour de lui, traversent son esprit et s'infiltrent dans celui avec lequel il s'est connecté. Tribunal 221. lui revient, de la même façon, sans qu'aucun son véritable ne soit prononcé, simplement pensé à travers son esprit. Il hoche la tête, se détache et rompt le lien mental qui l'unissait avec cet autre puis détache son regard de la caméra. Les portes métalliques soufflent et s'ouvrent, il ne perd pas de temps, sait où il doit aller, sait ce qu'il doit faire. La procédure est répétitive. Encore et toujours. Mais, cette fois, elle mènera quelque part.


iii. Gallifrey
Agent Arkhon, approchez. le ton est solennel, mais une note de chagrin et de regret beaucoup trop claire flotte autour d'eux. Il obéit, sans poser de question, grimpe d'un pas sur la plate-forme lumineuse. Son corps tout entier est traversé par un désagréable mais minuscule courant électrique. Il sait ce qui se passe et ne s'en inquiète pas, mais sa mâchoire se serre malgré tout lorsqu'il sent l'électricité s'enfoncer dans ses organes et traverser ses entrailles avant de disparaître.

Surélevée devant lui, sur une autre plate-forme, se tient une femme vêtue d'amples robes. Elle porte sur les épaules l'imposante coiffe circulaire habituelle, on devine les sceaux prydoniens gravés dans les épaulières de celle-ci. Le processus est irréversible. ajoute-t-elle, brisant enfin le silence, son regard dégagerait presque une sorte de volonté protectrice. Vous pouvez encore refuser. Aucun d'entre nous ne vous en tiendra rigueur.

Les mains jointes dans le dos, il hoche la tête, lui aussi solennel. —J'apprécie l'inquiétude. les mots sont légers, le ton aussi, mais il ne démord pas. Mais je me suis porté volontaire, et j'irai jusqu'au bout. Elle hoche la tête, le visage soudainement contrit, puis ferme les yeux.

La plate-forme sur laquelle il se tient est soudainement parcourue d'énergie, une colonne de lumière descend du plafond et vient prendre forme autour de lui à la manière d'un champ de force. Il demeure immobile, patient et serein. La Nonne, sur l'autre plate-forme, rouvre les yeux, croise son regard puis hoche à nouveau la tête, un geste qu'il lui rend avec sympathie.

Le courant électrique qui l'avait parcouru plus tôt revient, plus fort. Beaucoup plus fort. Il gémit de douleur et s'écroule à genoux. La douleur est intense, brûlante, corrosive. Il sent chaque cellule de son corps fondre et se désintégrer les unes après les autres. La morsure d'un acte calculé qu'il ne regrette toujours pas, pas même lorsqu'il sent ses forces l'abandonner et qu'il sent son propre corps commencer à s'éteindre.

Contre la dalle lumineuse, il serre les poings. Ses chairs s'écaillent, flocons et particules de son être, il se défait petit à petit. La douleur insurmontable lui arrache un hurlement de douleur. La Nonne ne peut s'empêcher de détourner le regard, elle souhaiterait l'arrêter mais c'est trop tard, le processus ne peut plus être inversé. La douleur ne fait qu'amplifier et il hurle encore et encore. Finalement, lorsque la douleur devient trop forte pour lui, c'est la déflagration. Explosion de lumière et d'or qui filtre au travers de ses chairs fragiles et déchirées. Lorsque les hurlements cessent, son corps tout entier n'existe plus, remplacé par un autre. Plus jeune. Plus grand. Son troisième. Les dernières forces qui le maintenaient sur ses genoux l'abandonnent et il s'écroule, perd connaissance et la colonne de lumière s'efface.

Lorsqu'il rouvre les yeux, c'est sous le doux bourdonnement d'une machine qui résonne au-dessus de sa tête. Un bruit familier, rassurant, qui aide ses cellules à reprendre le contrôle de son corps, qui calme la violence de sa régénération et qui facilite sa récupération. Ses yeux ne restent pas ouverts bien longtemps, le bourdonnement renforce et accentue son besoin de dormir, le force à se laisser faire. Il plie et se laisse bercer dans l'inconscience, tandis que son vaisseau termine son voyage au travers du vortex.


misc.
S'il ne se défait jamais de son épée, obtenue lors de son intégration dans la Convocation, elle génère continuellement (ou presque) un filtre de perception qui la rend essentiellement invisible à l'œil nu. Forgée en validium, un alliage Gallifreyen, son métal est indétectable par des moyens conventionnels.

Son TARDIS de Type 71 n'a généralement pas d'apparence fixe, sauf lorsqu'il est dissimulé dans son appartement terrien, où il prend la forme d'un miroir ; on ne peut entrer qu'en utilisant l'épée de Qius.

Le collier qu'il porte toujours autour du cou, et à travers toutes ses incarnations, lui a été transmis à la mort de ses parents biologiques, c'est une étoile cristallisée qu'il considère comme un porte-bonheur.

Ses couleurs Gallifreyennes sont le bleu et l'argent, celles du Chapitre Céruléen. À l'époque de ses années académiques, il était un élève relativement ordinaire, ni excellent ni mauvais. À l'exception de la télékinésie qu'il n'a jamais su utiliser ou maîtriser.

Il n'a ni frère ni sœur biologique, sa seule famille encore vivante est celle qu'il partage avec les autres membres de la Maison Balaxin.
Hors-RP

Pseudo ou Prénom MNDΛXÂge 28, ça commence à faire longFuseau horaire GMT+1, cocorico et tout çaCrédits MNDΛXPersonnage InventéZone libre to become everything you're not ▹ arkhon 2011663658 allez on rp quand làààà

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